Autour de la Vieille Italienne de Géricault
du 08 juin au 29 juillet 2002
Durant l'été 2000, le musée de Flers organisait une exposition consacrée à Victor Schnetz et empruntait au Havre une toile considérée peinte par l'artiste. La confrontation avec d'autres œuvres Schnetz fit apparaître que cette Vieille italienne serait en fait une œuvre de Théodore Géricault. L'attribution à Géricault n'est pour autant pas encore reconnue par tous les spécialistes, et demeure l'objet de discussions passionnées. Le tableau n'a d'ailleurs pas livré tous ses secrets, et certains points, comme sa datation ou sa finalité, restent à éclaircir.
PRÉSENTATION
C'est à partir de cette possible nouvelle attribution du portrait que l'exposition Autour de la Vieille italienne a été montée. Après le Louvre puis le Musée du château de Flers, l'exposition termine son itinéraire au Musée Malraux du Havre. Le tableau rentre ainsi au Havre, son point de départ initial. Ce retour s'effectue sous sa nouvelle attribution après la révélation de son véritable auteur par Bruno Chenique, historien de l'art et président de l'Association des amis de Géricault et de Sylvain Laveissière, conservateur en chef au département des peintures du Louvre. Ces deux spécialistes sont les commissaires de l'exposition.
Cette exposition-dossier, ne comprenant que cinq œuvres, confronte l'œuvre de Géricault aux tableaux de Navez, Schnetz ou Cogniet, autres romantiques qui se sont inspirés du même modèle. Cette Vieille italienne provient de la série des Monomanes. Le fait que Schnetz et Géricault étaient des amis du même âge et utilisaient des modèles similaires peut expliquer la confusion.
Pour rappel, le portrait de la Vieille italienne est entré dans les collections nationales grâce à la donation du grand collectionneur La Caze. Depuis le XIXè, le Louvre avait mis en dépôt ce tableau au Musée du Havre. La Vieille italienne, véritable chef d'œuvre est considéré comme une œuvre majeure dans la carrière du peintre romantique.
C'est à partir de cette possible nouvelle attribution du portrait que l'exposition Autour de la Vieille italienne a été montée. Après le Louvre puis le Musée du château de Flers, l'exposition termine son itinéraire au Musée Malraux du Havre. Le tableau rentre ainsi au Havre, son point de départ initial. Ce retour s'effectue sous sa nouvelle attribution après la révélation de son véritable auteur par Bruno Chenique, historien de l'art et président de l'Association des amis de Géricault et de Sylvain Laveissière, conservateur en chef au département des peintures du Louvre. Ces deux spécialistes sont les commissaires de l'exposition.
Cette exposition-dossier, ne comprenant que cinq œuvres, confronte l'œuvre de Géricault aux tableaux de Navez, Schnetz ou Cogniet, autres romantiques qui se sont inspirés du même modèle. Cette Vieille italienne provient de la série des Monomanes. Le fait que Schnetz et Géricault étaient des amis du même âge et utilisaient des modèles similaires peut expliquer la confusion.
Pour rappel, le portrait de la Vieille italienne est entré dans les collections nationales grâce à la donation du grand collectionneur La Caze. Depuis le XIXè, le Louvre avait mis en dépôt ce tableau au Musée du Havre. La Vieille italienne, véritable chef d'œuvre est considéré comme une œuvre majeure dans la carrière du peintre romantique.
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Publications
Autour de la Vieille Italienne de Géricault : quatre peintres pour un modèle : Cogniet, Géricault, Navez, Schnetz
Catalogue d’exposition — Paris, musée du Louvre, 17 janvier – 25 mars 2002 ; Flers, musée du Château, 2 avril – 29 mai 2002 ; Le Havre, musée Malraux, 8 juin – 29 juillet 2002
Auteurs : Sylvain Laveissière, Bruno Chenique, Anne Esnault, Annette Haudiquet
Édition : Cahiers du Temps, Cabourg, 2002, 54 p.
ISBN 10 2-911855-43-4
ÉPUISÉ
Catalogue d’exposition — Paris, musée du Louvre, 17 janvier – 25 mars 2002 ; Flers, musée du Château, 2 avril – 29 mai 2002 ; Le Havre, musée Malraux, 8 juin – 29 juillet 2002
Auteurs : Sylvain Laveissière, Bruno Chenique, Anne Esnault, Annette Haudiquet
Édition : Cahiers du Temps, Cabourg, 2002, 54 p.
ISBN 10 2-911855-43-4
ÉPUISÉ