Fidèle à sa démarche d’accessibilité à l’art pour tous, Matmut pour les arts permettra au public d’accéder gratuitement au Musée d’art moderne André Malraux du Havre, le jeudi 14 juillet. L’occasion de découvrir l’exposition Le Vent. « Cela qui ne peut être peint », présentée jusqu’au 2 octobre 2022..
  Depuis 8 ans, Matmut pour les arts accompagne les actions de médiation culturelle du Musée d’art Moderne André Malraux – MuMa du Havre, pour faciliter l’accès à la culture pour tous. Grâce à ce soutien, le MuMa ouvre gratuitement ses portes le jeudi 14 juillet, de 11h à 18h. Un moment inédit et privilégié pour visiter l’exposition Le Vent. « Cela qui ne peut être peint », qui dévoile 170 oeuvres de plus de 100 artistes.

Ce rendez-vous désormais annuel s’inscrit pleinement dans la politique RSE du Groupe Matmut et dans son engagement de rendre l’art et la culture accessibles à tous. La Matmut soutient des projets innovants, originaux et pertinents spécifiquement développés à destination des publics qui en ont le plus besoin : familles, personnes vivant en milieu rural, personnes en situation de handicap… Dans le cadre de sa médiation, le Musée d’art moderne André Malraux accueille des groupes afin de leur donner les clefs de compréhension, les sensibiliser à l’art et leur permettre de vivre des expériences inédites. Matmut pour les arts accompagne le MuMa, désormais depuis 2015, en apportant son soutien financier pour la réalisation d’ateliers avec les structures de la Ville du Havre « Les Fabriques » accueillant des personnes du champ social.

Egalement en ce sens, le Centre d’art contemporain de la Matmut-Daniel Havis à Saint-Pierre-de-Varengeville (Seine-Maritime) propose depuis 2011 des expositions temporaires d’artistes reconnus ou émergents et un parc de 6 hectares jalonné d’œuvres monumentales.
Le centre d’art est en accès libre du mercredi au vendredi de 13h à 19h, les samedis et dimanches de 10h à 19h pour les expositions. Le parc est ouvert tous les jours de 8h à 19h..

Donner forme à l’invisible : tel est le défi immémorial auquel le vent a confronté les hommes. C’est aux solutions que ceux-ci ont apportées à ce paradoxe que l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint » est consacrée, en s’attachant plus particulièrement aux formes plastiques élaborées par les artistes au fil des siècles, au fur et à mesure que la compréhension de ce météore se fait plus précise.

L’exposition réunit plus de 100 artistes et le parcours dévoile 170 oeuvres, peintures, dessins, estampes, photographies, vidéos, verres, etc. de l’Antiquité à la période contemporaine car il faut en effet attendre l’invention du cinéma, seul capable de capter le mouvement dans sa durée, pour que le vent ne soit plus suggéré par son image fixée.

Au tournant du XX^ème siècle, à la suite de plusieurs dons et legs d’importance, le musée devient un haut lieu de l’impressionnisme et du fauvisme. En 1900, le frère d’Eugène Boudin donne à la ville du Havre le fonds d’atelier de son frère, rassemblant près de 250 oeuvres. En 1936, grâce au legs du négociant en coton Charles-Auguste Marande, Renoir, Monet, Pissarro… intègrent les collections du musée, tout comme les fauves Marquet, Van Dongen ou Camoin. 1963 marquera l’arrivée de Dufy grâce aux 70 oeuvres léguées par sa veuve.
Enfin, en 2004, le MuMa accueille la merveilleuse collection d’Olivier Senn, donnée par sa petite-fille, Hélène Senn-Foulds, faisant désormais du MuMa la deuxième collection impressionniste de France, juste après Orsay.
La donation compte 306 oeuvres parmi lesquelles certaines de Courbet, Delacroix, Corot, Renoir, Pissarro, Monet, Degas, Vallotton, Bonnard, Derain, Marquet, Matisse… Ancré face à la mer, ce musée de verre et d’acier est également depuis quelques jours l’heureux propriétaire d’une oeuvre ultime de Georges Braque, léguée par Florence Malraux dont le père, alors ministre des affaires culturelles, avait inauguré en 1961 le premier musée-maison de la culture de France, devenu aujourd’hui le MuMa.

La Matmut est engagée dans plusieurs aspects de la vie sociétale. Elle a fait le choix d’être présente entre autres dans le domaine culturel. La solidarité et le partage constituent le principe même de l’esprit mutualiste. Nous pensons l’action philanthropique dans le champ culturel comme un prolongement naturel de notre implication dans la vie de tous. Pour incarner notre engagement, nous avons créé le programme Matmut pour les arts avec la volonté de développer une politique culturelle claire dont l’objectif est de rendre la culture accessible au plus grand nombre.
Cette politique se décline en trois dispositif concrets :
• Le Centre d'art contemporain de la Matmut - Daniel Havis : un lieu d’exposition, libre d’accès et ouvert à tous, petits et grands, amateurs ou connaisseurs.
• Une politique de mécénat qui accompagne des projets innovants, originaux et pertinents ayant pour objectif de donner accès à la culture à des publics qui en sont éloignés.
• À la rentrée 2022, un projet autour du cinéma accessible : projections-rencontres où tous pourront se rassembler face à l'art cinématographique.